• Un toda raba à Mr. Cohen pour son travaille de reconstitution. Travail qui me permet de vous montrer une mosaïque de l'antique forteresse de Massada. Mosaïque dont je vous parlais précédement.

    Il ne reste en réalité que 25 pour cent de cette mosaïque.


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  • Ecoutes, ô Eternel, la voix de ma plainte, contre la peur de l'ennemi garde ma vie ; au complot des méchants soustrais-moi, à la meute des ouvriers de mal !

    Eux qui aiguisent leur langue comme une épée, ils ajustent leur flèche, parôle amère, pour tirer en cachette sur l'homme intègre, ils tirent soudain et ne craignent rien.

    Ils s'encouragent dans leur méchante besogne, ils calculent pour tendre des pièges, ils disent "Qui les verra ?" .  Ils combinent des méfaits : "C'est parfait, tout est bien combiné !".  Au fond de l'homme, le coeur est impénétrable.

    Dieu a tiré une flèche, soudaines ont été leurs blessures ; Il les fit choir à cause de leur langue, tous ceux qui les voient hochent la tête.

    Tout homme alors craindra, il publiera l'oeuvre de Dieu, et son action, il la comprendra.

    Le juste aura sa joie en Ado.naï et son refuge en Lui ; ils s'en loueront, tous les coeur droits.


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  • Heureux l'homme qui ne suit pas le conseil des impies, ni dans la voies des pécheurs ne s'arrête, ni au siège des railleurs ne s'assied, mais se plaît dans la loi de Ado.naï, mais murmure Sa Torah jour et nuit !

    Il est comme un arbre planté près des ruisseaux ; qui donne son fruit en la saison et jamais son feuillage ne sèche : tout ce qu'il fait réussit : pour les impies rien de tel !

    Mais ils sont comme la bale qu'emporte le vent. Ainsi les impies ne tiendront pas au Jugement, ni les pécheurs, à l'assemblée des justes, mais la voie des impies se perd.

     

     


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  • L'insensé à dit en son coeur : "Non, plus de Dieu !". Corrompues, abominables leur actions ; personne n'agit bien.

    Des cieux Ado.naï se penche vers les fils d'Adam, pour voir s'il en est un de sensé, un qui cherche Dieu.

    Tous ils sont dévoyés, ensemble pervertis. Non personne n'agit bien, non pas un seul.

    Ne le savent-ils pas, tous les malfaisants ? Ils mangent mon Peuple, voilà le pain qu'ils mangent, ils n'invoquent pas Ado.naï.

    Là, ils se sont mis à trembler, car Dieu est pour la race du juste : vous baffouez la révolte du pauvre, mais Ado.naï est son abri.

    Qui donnera de Sion le salut à Israël ? Lorsque Ado.naï ramènera les captifs de son Peuple, allégresse en Yaakov et joir pour Israël !


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  • Pasteur d'Israël, écoutes ! toi qui mène Yossef comme un troupeau ; toi qui sièges sur les Chérubins, resplendis devant Efraïm, Benyamine, et Menashé, réveilles ta vaillance et viens à notre secours. Eternel fais-nous revenir, fais luire ta face et nous seront sauvés.

    Jusqu'à quand, Ado.naï Dieu Sabaoth, prendras-tu feu contre la prières de ton Peuple ? Tu l'as nourri d'un pain de larmes, abreuvé de larmes à triple mesure ; tu fais de nous une question pour nos voisins et nos ennemis se moquent de nous.

    Dieu Sabaoth, fais-nous revenir, fais luire ta face et nous serons sauvés.

    Il était une vigne : tu l'arraches d'Egypte, tu chasses des nations pour la planter ; devant elle tu fais place nette, elle prend racine et remplit le pays.

    Les montagnes étaient couvertes de son ombre, et de ses pampres les cèdres de l'Eternel ; elle étendait ses sarments jusqu'à la mer et du côté du Fleuve ses rejetons.

    Pourquoi as-tu rompu ses clôtures, et tout passant du chemin la grappille, le sanglier des forêts la ravage et la bête des champs la dévore ?

    Dieu Sabaoth, reviens enfin, observes des cieux et vois, visites cette vigne : protèges là, celle que ta droite à plantée. Ils l'ont brûlée par le feu comme une ordure, au reproche de ta face ils périront.

    Ta main soit sur l'homme de ta droite, le fils d'Adam que tu as confirmé ! Jamais plus nous n'irons loin de toi ; rends-nous la vie, qu'on invoque ton Nom.

    Ado.naï Dieu Sabaoth, fais-nous revenir, fais luire ta face et nous serons sauvés.


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